Temps Écoute : en individuel, par téléphone
En ces temps particuliers que nous vivons depuis ce mois de mars 2020, chacun y cherche, ou y trouve, des moyens créatifs pour un mode de vie autrement.
Cela nous amène aussi à aller à l’essentiel.
Cela m’amène moi aussi à accueillir des essentiels, accueillir ce qui est.
Depuis plusieurs années je travaille avec la vibration du son et ses effets sur le corps et l’esprit, à travers la musique, et la danse libre.
J’ai découvert, et je m’autorise enfin à le dire ici, que je pouvais entendre, quand les personnes parlent, les zones de blocages, quand ce n’est pas juste par rapport à ce qu’elles veulent vraiment, et les zones où cela sonne juste par rapport à ce qu’elle veulent. Je l’entends quand les personnes parlent d’elles, de ce qu’elles veulent dans la vie, et quand elles sont en demande de changement à l’intérieur.
Dans ma vie quotidienne, quand j’échange avec des personnes, et qu’elles parlent d’elles et de leurs envies, de leur vie, parfois je réagis, quand on me le demande, ou je ne dis rien, quand la personne n’est pas en demande.
Parfois je coupe mon ressenti de cela, mais ce n’est pas toujours agréable, ni durable, car c’est se couper d’une partie de moi, donc j’ai tendance à aller ailleurs quand le son siffle trop et que la personne n’a pas du tout envie de débloquer des choses. Et je ne lui en veut pas à cette personne, même si c’est difficile quand ce sont des proches, car je suis obligée de partir. C’est normal de ne pas débloquer certaines choses, on a tous des supports, comme les tuteurs des plantes. Et certains sont nécessaires à certaines période, il ne s’agit donc pas de tout foutre en l’air. Des fois, je peux ne pas partir, si j’arrive à être dans un complet accueil. Mais il faut que je sois en pleine forme et pleine conscience ! Parce que sinon, quand ça siffle, c’est comme si ça sonnait faux, mais ça siffle dans tout le corps. Donc la plupart du temps, quand la personne est ouverte, je pose les questions pour qu’elle dénoue le sujet, et que ça arrête de siffler. Après, tout redevient calme, ou alors c’est une belle vibration mélodique à la place. Ouf…. Je respire. Et en plus, c’est beau.
Je n’entends pas quel est le sujet précis, j’entends juste de quoi pouvoir formuler une question qui peut amener la personne à trouver elle, de quoi il s’agit. C’est comme si j’entends la zone, le domaine, que ça concerne, sans le détail. Quand cela se passe, j’entends le nœud se défaire, ou l’ouverture s’étendre. C’est là que je sais que cela s’est fait. La personne aussi le sent. Je n’ai pas besoin de savoir le détail de quoi il s’agit, cela appartient à la personne. C’est elle qui est maitre de ce qu’elle garde pour elle ou non.
Cela aide aussi la personne à trouver des pistes pour comment le faire elle même, comment entendre, écouter ce qui est juste pour elle.
Quand je parle d’entendre, de ce que j’entends, je ne parle pas d’entendre avec mes oreilles. C’est comme entendre avec l’ensemble du corps, c’est sentir une vibration, une fréquence, une onde, une partition de musique.
Cela m’arrive aussi beaucoup quand je suis dans des réunions, en collectif. Quand les personnes parlent, et qu’il y a un décalage / un non alignement avec le sujet de la réunion, ou de la visée du collectif (de l’association, de l’entreprise, …), j’ai le même type de perceptions. Il m’est dont parfois difficile d’être pleine partie prenante et d’avoir à la fois ce méta ressenti de ce qui est en train de se passer. Sauf, quand je tiens ce rôle de faire un retour (ce qui arrive peu, probablement car je ne l’ai pas encore vraiment proposé), ou quand je m’autorise à n’intervenir que sur ce type de perceptions, quitte à être toujours « un peu à part », ou disons dans le méta sujet, pour faire revenir chaque personne / chaque sujet, sur le même fil / ou même Sujet.
On m’a toujours dit que j’avais un bon esprit d’analyse, et une bonne intuition. Je pensais que cela était du à mes appétences naturelles pour les réflexions sur les problèmes avec de multiples données, et mes formations initiales en ce sens (j’ai fait un Master en ingénierie du management, transformations dans les entreprises, et j’ai travaillé en accompagnement du changement / projets de transfo / organisation en entreprise). Cela a du jouer, sûrement, mais pas que. Moi qui suis une pure cartésienne, BAC S, études socio-économiques, et gestion d’entreprise, Cela ne me serait pas venu à l’idée que me ‘réussites professionnelles’, en grandes parties du à mon bon relationnel avec les personnes dans les projets, pouvaient être du au fait que j’entends, au delà des mots. Quelque chose d’autre, ce qu’il y a en dessous, ce qui n’est pas dit, pas formulé, mais qui est bien là. Mais on ne m’a pas appris, que les ondes, les fréquences, osons le dire, le magnétisme qui passe / qui est émis par le corps humain, et bien, cela existait. Aujourd’hui, avec toutes les recherches, connaissances acquises, et par dessus tout, les expérimentations pratiques que je fais depuis des années, dans le corps, dans mon ressenti, dans ma vie, et dans tout ce que je fais, partout, tout le temps, et bien, je ne peux que m’y résoudre : les fréquences, les vibrations sont là, et elles agissent, qu’on le veuille ou non. Alors, autant en faire bonne usage, vivre avec elles, danser avec elles, chanter avec elle, les créer, en créer de belles, s’en donner de belles, et inonder notre entourage et le monde entier d’une douche de vibrations, justes, et heureuses.
J’en viens alors au principal quant à ce que je peux donner ici, en cette période singulière, qui, pour moi, nous amène à découvrir et partager notre plus beau cadeau. En somme, ce que nous sommes venus expérimenter sur cette planète.
Pour ceux qui en ressentent le besoin, et pour qui, ce que j’ai décris crée un écho : je propose un rendez-vous téléphonique pour travailler sur un retour à l’essentiel, pour que vous débloquiez des pistes pour vous redonner un peu d’équilibre en cette période bousculante, ou pour vous aider à passer des transformations nécessaires.
Dans l’énergie qu’il me semble avoir en ce jour (ce qui peut bouger, la période étant tellement inédite), je peux réserver un créneau par jour pour cela.
Pour avoir déjà expérimenté des échanges qui pouvaient être similaires, cela durerait à mon sens environ 1h30. Mais peut-on vraiment savoir à l’avance ?
Je préfère le téléphone car le son est plus direct, il m’est plus facile ainsi. Il me semble aussi intéressant de faire sans l’image, qui évite d’avoir à traiter le temps de lâcher l’a priori de l’image.
Je propose cela gratuitement. C’est une des façons par lesquelles j’ai envie de participer à cette grande transformation collective que nous vivons tous ensemble aujourd’hui.
Pour me contacter : 06 95 25 64 79
Si je ne réponds pas, laissez-moi un message, vos disponibilités, et je vous rappellerai. Vous pouvez aussi envoyer un texto pour convenir du rendez-vous téléphonique. Prévoyez, si possible, d’être dans un endroit calme, et de ne pas être dérangé, si possible, pendant la durée de l’appel.
Prenez soin de vous
Je vous souhaite le meilleur dans ces moments d’accueil de l’inédit
Yolande Bertrand